De la justice à sept ans
À 17 h 00, j’avais donc devant moi un d’Artagnan en culotte courte animé d’une envie brutale de châtier l’auteur de cette ignoble atteinte à son honorabilité et ce, par des moyens dont l’utilisation recouvrerait sans nul doute une qualification pénale passible de la correctionnelle (au bas mot).
C’est pas juste ! qu’il lança (...)
Ça va, donc ça va pas
Je m’explique. Logiquement, me direz-vous, si «ça va», c’est que tout devrait aller. Et c’est justement là qu’intervient la beauté d’un paradoxe existentiel que ne renierait pas Kafka tentant désespérément de prendre un rendez-vous chez le dermato sur Doctolib
Nom d’un poulet !
Je ne peux m’empêcher de penser que, dans cette file d’attente, ma vie ressemble diablement au destin de ces poulets. Moi aussi je mouline dans le vide, cerveau débranché. Je ne plongerai pas dans mon téléphone ; déconnexion estivale oblige, j’ai opté pour l’encéphalogramme plat et contemple mes nouveaux potes gallinacés histoire de tuer l’ennui.
J - 2 avant la rentrée !
J- 2 avant la rentrée. Comme le chantait Brigitte, « on a rangé les vacances dans des valises en carton ». Quoique...
C’est pas de sa faute !
Et voilà notre pauvre Adam qui, jusque-là, n’avait d’autre ordre à recevoir d’ Ève que celui de mettre un peu la main à la pâte, de laver sa tasse à café et de mettre son linge sale dans la corbeille - et pas à côté -, contraint et forcé d’accéder à une requête inique de sa douce pour avoir la paix. Pauvre petit farfadet ! Et la communication au sein du couple ; ça lui parle ? Et le libre arbitre ; jamais entendu parler ?
Team Jonglage ou Slowlife ?
Il n’empêche, même si je cherche encore à gagner du temps au quotidien afin de chevaucher des licornes à paillettes jusqu’au bout de la nuit l’esprit léger, j’avoue être devenue petit à petit une adepte de la slowlife (sagesse ou vieillesse ?).
La pluie, ce miroir des âmes 🌈
la pluie ne cesse de tomber, devenant ainsi l’un des sujets de discussion les plus brûlants à la sortie de l’école, avec les Jeux olympiques, les horreurs internationales et la déclaration d’impôts (d’ailleurs, il serait temps que j’m’y mette, tiens… Bref.).
“Case-toi !” 🤬
« Mais, du coup, tu n’as pas l’intention de reprendre un vrai travail un jour ? »
« Le sommeil, ce pervers narcissique »
Hélas, depuis, mon Dieu qu’il a mal vieilli, mon sommeil ! Il a développé une peur de l’abandon qui le rend bête et méchant. Maintenant, cette espèce de petit saligaud joue à « Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis ».