
J - 2 avant la rentrée !
J- 2 avant la rentrée. Comme le chantait Brigitte, « on a rangé les vacances dans des valises en carton ». Quoique...

Se méfier des piafs, toujours !
Elle soupira ; ce n’était qu’un oiseau ! et tenta de chasser l’intrus. Mais celui-ci ne bougeait pas d’une griffe. Mais, tout à coup, il ouvrit grand ses ailes, libérant un cri strident qui résonna dans toute la maison et se précipita sur elle avec ses griffes acérées.

Moments de plage
Une journée à la plage, c’est plein de petits moments qui, mis bout à bout, tissent une toile de souvenirs précieux :
• Analyser les horaires et les coefficients de marée dans l’almanach, rituel matinal fondamental.
• Parcourir en sautillant le petit chemin ombragé qui mène à l’Eden en transportant tout à la fois l’attirail du parfait constructeur de château de sable, celui de l’ambitieux pêcheur de crabes, de l’intrépide bodyboarder et du fragile apprenti-nageur.

Le vol du moustique - 2ème partie
Sans penser que l’effet versaillais a attiré encore plus de congénères qui se gaussent de voir ainsi l’être humain dans toute sa vulnérabilité, en tenue d’Eve, sauter sur son lit, l’air hagard et la bave aux coins des lèvres pendant que le voisin de matelas réveillé par ce petit cirque et qui n’attire pas les moustiques – lui –, commence à râler sévère.

Le vol du moustique – 1ère partie
L’été ne serait pas tout à fait l’été sans cette danse millénaire entre l’homme et le moustique. Alors que vous soyez écolo dans l’âme, un chimiste passionné, un stratège façon Bonaparte ou un simple amoureux des soirées sans piqûres, à chacun ses armes et à chacun son style !

Des vacances éclairées
Tout en tournant et tournant encore à la recherche d’une place de parking, je me lance dans une analyse sociologique, façon comptoir du Balto, de cette horde de zombies en villégiature. Je dirais qu’il en existe deux catégories : les pèlerins et les épicuriens.

This the end ! … Vraiment ?
Le cartable traîne encore dans l’entrée, chargé de toutes ces choses apprises tout au long de l’année, de cahiers d’écriture, de livres de maths, de lecture, de feutres, de crayons, de ciseaux…

Fiesta sous le scalp ! 🎉
Je ne vous détaillerai pas davantage mes réalisations du jour, j’ai pitié de vous. Mais un constat s’impose : aujourd’hui, j’aurai davantage fait rêver la déesse Shiva et les « tradwives » que le fantôme d’Olympe de Gouges ou de Simone de Beauvoir !

C’est pas de sa faute !
Et voilà notre pauvre Adam qui, jusque-là, n’avait d’autre ordre à recevoir d’ Ève que celui de mettre un peu la main à la pâte, de laver sa tasse à café et de mettre son linge sale dans la corbeille - et pas à côté -, contraint et forcé d’accéder à une requête inique de sa douce pour avoir la paix. Pauvre petit farfadet ! Et la communication au sein du couple ; ça lui parle ? Et le libre arbitre ; jamais entendu parler ?

La dissolution de l’Assemblée nationale expliquée à mon fils 🐥
Et pour bien nous faire comprendre qu’il était en colère, il a décidé de faire quelque chose de spécial dont on ignore encore si ça relève du fin stratège politique ou de l’enfant gâté qui tape du pied ; il a décidé de dissoudre l’Assemblée nationale. En gros, il a appuyé sur un gros bouton rouge (…)

Team Jonglage ou Slowlife ?
Il n’empêche, même si je cherche encore à gagner du temps au quotidien afin de chevaucher des licornes à paillettes jusqu’au bout de la nuit l’esprit léger, j’avoue être devenue petit à petit une adepte de la slowlife (sagesse ou vieillesse ?).

La pluie, ce miroir des âmes 🌈
la pluie ne cesse de tomber, devenant ainsi l’un des sujets de discussion les plus brûlants à la sortie de l’école, avec les Jeux olympiques, les horreurs internationales et la déclaration d’impôts (d’ailleurs, il serait temps que j’m’y mette, tiens… Bref.).

L’Être suprême moderne
Ce week-end, nous enfilerons donc notre uniforme d’enfant modèle et comme un clin d’œil aux politiques natalistes d’antan et au réarmement démographique jupitérien, nous rendrons hommage au sens du sacrifice de nos génitrices, ces forces vives de la Nation qui assument toujours deux journées en une pour gagner encore 23 % de moins que nos géniteurs (et avec le sourire s’il vous plaît) !

“Case-toi !” 🤬
« Mais, du coup, tu n’as pas l’intention de reprendre un vrai travail un jour ? »

Du Yukon au salon 🧸
En tout cas, moi, je sais ce qu’est un ours et quoique captivé par son innocence, je reste sur mes gardes. Gare à moi si je me laisse attendrir ! Sa mère est forcément quelque part, tapie dans l'ombre, prête à défendre son petit. Instinctivement, j’attrape mon fusil…

La chasse au sucre 🧁
Tout d’abord, il y a le théoricien zélé ; Charmant CEO qui a épluché toute la littérature scientifique et tous les numéros de « Elle » et de « Santé Magazine » consacrés au glucose. Il a écouté Danièle Gerkens, Jessie Inchauspé, Jimmy Mohamed et Jean-Michel Cohen. Il scrute les étiquettes

Musicalement vôtre 🎸
D’ailleurs, question : si Aristote avait eu à écouter en boucle plus de 82 fois l'Été de Vivaldi, aurait-il considéré que la musique adoucit les mœurs ?
Et que dire de cette petite ritournelle sociétale post-moderne ? Mais si ! Vous la connaissez ; « Agis, bouge, performe, innove, ose ! Pense à toi, pense aux

Bain glacé et nez bouché 🥳
So cool ! les bains glacés qu’ils ont même droit à leur p’tit nom anglais ; les cold plunges.
Le concept ? S’immerger tel un Jedi en slip de bain dans une eau glacée pendant quelques minutes et parvenir à maîtriser son esprit pour ne plus ressentir le froid.

Nuit blanche pour merle noir🌃
Ou peut-être était-il en pleine crise mystique ; « Oui mes amis, je vous le dis ! Je me suis levé cette nuit et j’ai suivi la lumière ! Écoutez-moi ! Le dieu Pigeon reviendra bientôt voler parmi nous et canardera le chemin de ceux qui le reconnaissent comme leur maître ! ».

Vous avez un (méchant) message 😒
J’ai bien du mal à qualifier ce commentaire de « haineux ». Ces deux mots sont bien moches. Point de débat. Mais plus encore que la laideur froide de la juxtaposition de ces deux inélégances sémantiques, c’est l’indigence du champ lexical employé qui me choque le plus, en ce qu’elle traduit un flagrant manque d’ambition.